samedi, septembre 16, 2006

Istres: un coucou de F. Bernardini

Coucou !

d'Istres aux Istréens

J'ai envie de commencer ces lignes par ce salut quelque peu familier car j'ai abandonné mon blog d'Istres depuis quelques semaines.
Cette absence n'est pas une réelle surprise car j'ai sans doute beaucoup de mal à m'habituer à un rythme régulier.



Coucou !
Pour y parvenir, il faudrait soit se consacrer en permanence à la rédaction de ses propres messages, soit photocopier les impressions d'autres en les modifiant à la marge pour les rendre personnelles, soit faire appel à une batterie de réalisateurs.

Je vous l'avais dit dans mon premier article. Je me refuse à employer ces deux derniers moyens, restant tributaire de mon temps libre limité.

Coucou donc, je réapparais !

Heureusement l'action n'a pas déserté cette période silencieuse. J'ai d'abord beaucoup lu, sans doute pour compenser un plaisir que je n'avais plus connu depuis longtemps.
C'est une phase grisante dans laquelle on nourrit sa réflexion par des apports extérieurs. Il est indispensable de confronter ou de peaufiner son jugement face à des signatures que l'on juge éclairées. Lire la Suite

1 commentaire:

Anonyme a dit…

Dernière "menaces" en date de Mme. Prospéri, Picon :
"Veuillez relire IMPERATIVEMENT vos courrriers, trop de fautes de "frappes"...
CE N 4EST PLUS ACCETABLE..."
Si vous n'augmentez pas la cadence, sans aucucne fautes
Mr BERANRDINI aurait dit, d'après elle:
allez hop, tu me vires tout ça!!!
Pourtant, je fais 7 heures pas jour,
je m'efforce de faire mon boulot au mieux, je donne réellement le maximum de moi même, rester apres l heure, faire et redéfaire, faire même avec tout ça
être obliger de faire le boulot d'autres services!!!!
Qui pourtant eux, se la coulent douce...
NON Mmme. picon, ce n'est pas humain, pas plus que vvous et vos mensonges quand vous dites que votre porte est toujours ouverte...
C'EST FAUX, on ne peut vous approcher qu'avec RDV er encore
C'est facile les belles paroles hein
et de ne pas se soucier des autres..Pourtant un peu d'humanité ne vous ferais pas de mal